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Retour sur les universités d'été de l’économie de demain en 4 adjectifs

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C’est la rentrée et comme chaque année partis politiques, mouvements d’entreprises,…font leurs universités d’été. Et cette année, il y en avait une à ne pas rater : les universités d 'été de l’économie de demain. Ces « UEED » étaient coorganisés par une vingtaine de mouvements, dont Impact France, B Corp, Tech for Good France (3 mouvements dont digital4better x fruggr fait partie). La promesse est simple : « Entrepreneurs et dirigeants d'entreprise, la transition écologique et sociale ne se fera pas sans vous et repose sur un nouveau modèle d’entreprises qui préservent le capital écologique et social de l’humanité. »

Mobilisés

Année après année ce jeune événement prend de l’importance. Il était possible de partager autour d’interventions inspirantes ou de MasterClass. La qualité des intervenants était plus qu’au rdv : Emmanuel Faber, Olivier Grégoire, Pascal Demurger, Jean-Marc Borello, Cyrielle Hariel, Hélène Valade, Jean-Christophe Combe, Maud Sarda, Jean Moreau, Eva sedoun, Sylvie Jehanno, Arnaud Leroy… J’arrête là la liste est trop longue.

Un beau moment d’échanges sur l’économie de demain. Bref c’était the place to be. La vraie référence 😉

Tous les acteurs étaient donc mobilisés de la startup à impact au grand groupe en passant par les différents mouvements.

Concret

Cela aura été l’un des adjectifs qui est revenu le plus. Le temps des grands discours, des belles formules marketing des entreprises est terminé. Le temps est venu des actions concrètes. Même Mme la Ministre Olivia Grégoire l’a souligné, pas de DPEF (ex rapport RSE) avec de belles phrases mais des données extra financières concrètes. Les entreprises doivent mettre en place des actions concrètes et mesurer cette action. Estelle Braschlianoff (Veolia) souligne ce temps de l’action, la nécessité de trouver des solutions et les déployer.

Vite

Il est déjà trop tard, nous devons agir et agir vite. L’année dernière restait encore au constat et la nécessité d’agir, l’urgence d’actions rapides a pris le dessus cette année. Seules les entreprises qui agiront et vite sauront tirer bénéfice de ce moment clef.

La simple mesure d’indicateurs d’impact n’est plus suffisant, il faut fixer des objectifs, agir et suivre l’avancement de ces indicateurs. (poke #fruggr)

Emmanuel Faber (ex. patron de Danone) l’a parfaitement souligné, il faut des métriques, des vraies, et incentiver tous les managers.

Collectif

L’économie de demain n’est pas la simple action des acteurs « native impact », cela se fera avec les grands groupes, avec tout notre tissu de PME et ETI. C’est l’ensemble des parties prenantes qui sont concernées. Une entreprise ne peut d’ailleurs agir seule, elle est responsable de ses partenaires/sous traitants. Les différents acteurs ne s’opposent pas, ils se tirent vers le haut.

L’impact écologique est resté au cœur des échanges, néanmoins nombre d’intervenants ont rappelés l’importance de l’impact social.

L’impact n’a jamais été autant au cœur des débats et c’est tant mieux.

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